Pentagone : 2 – Démocrates : 0

Le Corps des Marines sermonne Pelosi : "Nous ne travaillons pas pour vous."

Par Real News, 13 janvier 2021 

Le Général David H. Berger, Commandant du Corps des Marines des États-Unis, a refusé la requête de la Représentante Nancy Pelosi d'utiliser le Corps d'armée pour protéger l'inauguration de Biden des supporters de Trump et des insurgés, le 20 janvier 2020.

Une source du Pentagone, s'exprimant à condition d'une promesse d'anonymat, a dit à Real Raw News que Pelosi a contacté le Gén. Berger tard dans la soirée de mardi, et qu'elle l'a supplié de mobiliser 5000 hommes pour soutenir une transition calme des pouvoirs et pour empêcher une réédition du siège du Capitole qui eut lieu le 6 janvier. Le Gén. Berger, a dit notre source, ne comprenait pas pourquoi Pelosi avait besoin de soldats supplémentaires pour accroître une force déjà impressionnante rassemblée par les fonctionnaires et l'État fédéraux. Ces forces comprennent 15 000 membres de la Garde Nationale de D.C., du Delaware, du Massachusetts et du Rhode Island, et un nombre non divulgué d'agents du FBI et du DHS qui sont arrivés à D.C. le dimanche soir.

Pelosi a dit qu'elle voulait des renforts "prêts à combattre" parce que les "supporters radicalisés de Trump et les théoriciens du complot cinoques de Qanon" étaient sur le point de converger vers D.C. Elle l'a imploré de reconsidérer sa décision, plaidant que c'était le devoir patriotique du général d'étouffer les révoltes et de garantir l'accession de Biden au Bureau Ovale.

Sa déclaration a fait exploser le général, a dit notre source.

"Ne me faites pas une conférence sur le patriotisme, Madame la Représentante. J'ai servi ce pays avec distinction pendant 40 ans. J'ai versé mon sang pour notre nation. Qu'est-ce que vous, en tant que fonctionnaire élu au service d'elle-même, avez fait pour notre pays ?" a dit le Gén. Berger.

Pelosi l'a alors mis encore plus en rage en disant qu'il répondait au Congrès.

"Je ne réponds qu'au Président, et tel que je le vois, Donald J. Trump est encore Président et Commandant en chef. Je me conforme à la Constitution telle qu'elle a été écrite, pas à l'interprétation que vous en faites", répondit le Gén. Berger à Pelosi sur le ton de la réprimande.

Citant notre source, "Quand sa tactique d'intimidation eut échoué à ébranler le Gén. Berger, Pelosi essaya une tactique différente : implorer et flatter."

Pelosi prétendit que les "guerriers du dimanche" de la Garde Nationale étaient mal préparés pour repousser des "Trumpistes cinglés". Que des marines endurcis au combat, cependant, étaient plus aptes à vaincre des "agitateurs", a-t-elle dit. "Vous avez les soldats les mieux entraînés au monde et l'Amérique a besoin d'eux."

Le Gén. Berger resta inflexible. La seule façon dont les Marines seraient déployés, lui dit-il, ce serait si le Président Trump lui-même en donnait l'ordre.

"Si vous voulez que nous vous aidions à combattre ses supporters, je vous suggère de l'avoir au téléphone et de le lui dire. S'il m'en donne l'ordre, je le ferai. Sinon, je vous suggère de surveiller étroitement les paroles qui s'échappent de vos lèvres craquelées empoisonnées ; elles ressemblent fort à de la trahison. Nous ne travaillons pas pour vous", lui aurait dit le Gén. Berger.

Dans l'article précédent, nous avions vu que le Pentagone avait interrompu les briefings pour la transition de Biden.

Que dis-tu de cette transition fluide et ordonnée, Nancy ?

Attention ! Ne réponds pas n'importe quoi… surveille étroitement les paroles qui s'échappent de tes lèvres craquelées empoisonnées.

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