Fraude électorale : un spécialiste du renseignement nous renseigne


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Steve Pieczenik est un Américain d’origine cubaine, écrivain, éditeur, psychiatre et ancien responsable du Département de la Défense des État-Unis. 

En 1982, Pieczenik a été mentionné dans un article du New York Times comme "un psychiatre qui a traité des employés de la CIA."

En 2001, Pieczenik a opéré en tant qu'officier supérieur pour la Strategic Intelligence Associates, prestataire de l'armée. 

Jusqu'au 6 octobre 2012, Pieczenik était listé comme membre du Council on Foreign Relations.

Le Dr. Pieczenik est un expert en guerre psychologique, psychologie politique, changement de régime, espionnage, contre-espionnage et opérations secrètes. Durant sa carrière en tant que haut responsable du département d'État, le Dr. Pieczenik a utilisé ses compétences et son expertise inégalées pour développer des stratégies et des tactiques qui ont été déterminantes dans la résolution de conflits en Asie, au Moyen-Orient, en Amérique latine, en Europe et aux États-Unis.

Le 6 novembre 2020, à 21h44, Francis Lagneau (@FrancisLagneau_) a tweeté :

#Elections2020 : selon le Dr. @StevePieczenik, figure bien connue des services de renseignement US, la fraude électorale perpétrée par les démocrates était anticipée de longue date et les mesures appropriées ont été prises en amont.

@realDonaldTrump a gagné. Point.

#4MoreYears #4AnsdePlus

Ceux qui veulent des explications techniques sur le mystérieux QFS (Quantum Financial System ?), cet article l'explique (en anglais). Il est long et complexe, donc je ne vous en traduis qu'une petite partie.

Le Système Breveté de Vote Sécurisé par QFS Blockchain du Service Postal

L'enregistrement de l'application a été rapporté comme étant daté du 7 février 2020, et l'invention est décrite comme, "Un système de vote qui peut utiliser la sécurité d'une blockchain et le courrier pour fournir un système de vote fiable." Un électeur enregistré reçoit un code informatique lisible par courrier et confirme son identité et confirme des informations correctes de bulletin de vote lors d'une élection. Le système sépare l'identification de l'électeur et des votes pour garantir l'anonymat du vote, et enregistre les votes sur le registre réparti d'une blockchain.

Le brevet est enregistré sous le numéro 20200258338.

Quant au tweet de Francis Lagneau, il renvoie aussi à cet article du Military Times :

Mise à jour sur la journée électorale de la Garde Nationale : plus de 3 600 troupes actives dans 16 États

La Garde nationale passe à la vitesse supérieure pour intervenir dans tout le pays afin de soutenir les élections présidentielles du 3 novembre à plusieurs titres. La mission va de l'assistance à la cyber-défense, travailler sur le scrutin et se tenir prête en cas de troubles civils post-électoraux.

Un nouveau stade d'activation de la garde a été révélé lundi, lequel incluait un effectif de 1 000 hommes dans le Massachusetts, 300 en Arizona, 300 en Alabama, et un nombre qui n'a pas été révélé en Floride, Oregon et Illinois.

Les troupes du Massachusetts et l'Oregon seront en réserve, au cas où il y aurait des troubles civils, et les forces d'Arizona se tiendront prêtes pour un déploiement rapide partout dans la portion ouest de la nation si c'est demandé par n'importe quel gouverneur. Les responsables de la Garde nationale n'ont pas voulu s'étendre sur le rôle que joueraient leurs troupes nouvellement déployées.

Des effectifs d'environ 3 671 soldats de la garde ont été engagés dans cet effort. La taille des déploiements autorisés va de 1 000 au Texas et dans le Massachusetts, et jusqu'à un seul soldat dans le Wyoming. Dans certains États, il n'a pas encore été décidé des effectifs qui seront déployés, et beaucoup d'États ont simplement alerté des unités choisies dans l'anticipation de troubles post-électoraux éventuels.

Toutes ces troupes couramment activées sont aux ordres des États et sont sous le contrôle de leur gouverneur respectif.

Il est peu probable que la Garde nationale soit fédéralisée pour les élections et qu'elle passe sous le contrôle de Donald Trump, ont dit les principaux responsables de la Garde du Nebraska, du Tennessee, de Washington et du Wisconsin, durant la conférence de presse de mercredi après-midi.

"Il ne serait d'aucun bénéfice de fédéraliser les forces de la Garde [pour les élections]," a expliqué le Général major d'Armée Jeff Holmes, adjudant général du Tennessee. "Je ne peux imaginer aucun scénario où nous recommanderions ou demanderions qu'elle soit fédéralisée.”

Certaines des missions, telles que la réponse aux troubles civils, sont du réchauffé, pour la garde. Mais la pandémie du COVID-19 représente un nouveau défi nécessitant l'utilisation du personnel de la Garde nationale, afin d'assister directement les élections et faire face à des préoccupations concernant des acteurs étrangers essayant de perturber les élections par des cyber-attaques, ont expliqué les hauts responsables de la Garde.

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