Pétition pour déclarer George Soros terroriste et saisir tous les biens de ses organisations


À l'heure où j'écris cette ligne, la pétition en ligne sur le site de la White House [Maison-Blanche] a recueilli 251 214 signatures.

Vous pouvez la signer ici :
Déclarez George Soros terroriste et saisissez tous les biens de ses organisations affiliées selon la loi RICO* et NDAA**

Créée par E.B. le 20 août 2017

Tandis que George Soros a sciemment, continuellement, tenté de déstabiliser et d'attaquer les États-Unis et ses citoyens, qu'il a créé et fondé des douzaines (probablement des centaines) d'organisations séparées dont le seul but est d'appliquer les tactiques terroristes sur le modèle d'Alinsky pour favoriser l'effondrement des institutions et du gouvernement constitutionnel des États-Unis, et tandis qu'il a étendu une emprise malsaine et abusive sur l'entièreté du Parti démocrate et une grande partie du Gouvernement fédéral US, le DOJ [Department Of Justice] devrait immédiatement déclarer George Soros et toutes ses organisations et leur personnel comme étant des terroristes nationaux, et saisir l'ensemble de leurs richesses et biens, tant personnels qu'organisationnels, d'après la Loi Civile sur la Confiscation.
RICO : loi pour lutter contre la mafia américaine et le crime organisé.

NDAA : National Defense Authorization Act, Loi d'Autorisation de la Défense Nationale.

Les crimes que cette pétition reproche à George Soros concernent les États-Unis, mais il les commet aussi contre la France par le biais des mêmes organisations qui, tel un cancer métastasé, infectent l'Europe.

Si le Département de la Justice américaine lance des poursuites contre Soros et saisit les biens de ses organisations américaines, le terroriste perdra une portion considérable de son influence et il y a des chances pour que d'autres pays se joignent à la curée.

La chute de Soros infligera un coup fatal à la mondialisation qui détruit la France, son économie, ses racines, son histoire, sa culture.

Soros considère l'anéantissement des États-Unis comme l'œuvre de sa vie, mais la France ainsi que toutes les nations souveraines sont incluses dans ce plan. Voici la traduction d'un article du Washington Times :

[Note : on vient de me signaler que cet article était terriblement mal écrit, ce qui est hélas ! terriblement vrai. Notez que j'écris en police Time New Roman (celle utilisée dans les romans) comme celle-ci.
Lorsque le texte est en police Arial comme celle-ci, il s'agit d'extraits ou de citations d'autres auteurs.
J'ai fait de mon mieux pour simplifier le style de la journaliste du Washington Times, mais ce n'est pas suffisant. Par conséquent, je prends la liberté d'éditer le style de son article (en bleu). Si vous voulez l'article original, il se trouve à la fin, après la ligne de séparation.]

George Soros a beau avoir 89 ans, il est toujours aussi déterminé à détruire les États-Unis

En tout cas, ça en a tout l'air.

Sinon, comment interpréter autrement ses paroles au forum économique de Davos en Suisse ?

Aussi, Soros finance les campagnes électorales américaines, critique de façon acerbe les déclarations de Donald Trump et le capitalisme, soutient activement des causes gauchistes et dirige la Fondation Open Society qui elle-même soutient de nombreuses causes gauchistes.

Durant les dernières années, Soros s'est efforcé de prendre le contrôle des institutions légales, en injectant de vastes capitaux en faveur des candidats au poste de procureur général, dans des circonscriptions juridiques clefs.

"George Soros effectue une réforme discrète du système judiciaire US", rapportait déjà Politico, en août 2016.

C'est encore le cas aujourd'hui.

"Le PAC [Political Action Committee] financé par Soros injecte près d'1 million de dollars pour faire élire des procureurs", rapportait The Washington Post, après que le Comité d'Action Politique Justice et Sécurité Publique eut versé de l'argent aux candidats de gauche des Comtés d'Arlington et Fairfax, en Virginie, dans la course au poste de procureur de chaque État.

En novembre, le New York Times rapportait les "manipulations publicitaires et les 800 000 dollars versés de Soros pour la course au poste de procureur général".

"Le bureau du procureur est l'une des premières lignes de défense locale de la Constitution et de l'État de Droit*. Cela signifie que l'impact progressiste immédiat est énorme – et c'est un impact qui peut être obtenu sans les luttes politiques coûteuses, comme celles visant à obtenir un siège de sénateur ou une place à la Cour Suprème.

[* situation d’une société qui est soumise à des règles juridiques et garantit le respect de ces règles à tous les citoyens.]

En d'autres mots, acheter un poste de procureur est rentable. Souvent, ça se fait discrètement, sans que ceux qui pourraient s'y opposer le remarquent.

D'autre part, Soros est aussi très occupé à acheter les sièges du Congrès et les médias, ou alors, surtout ces derniers mois, il finance la course électorale pour le Congrès, mais il va jusqu'à soudoyer les électeurs eux-mêmes.

Democracy Alliance, une association à but non lucratif fondée en 2005 pour promouvoir une vision progressiste** en Amérique et fondée par de riches élites, a récemment changé sa stratégie de financer des groupes de réflexion au cœur de Washington, D.C., au profit de petits groupes, presque inconnus, dans diverses communautés. Pourquoi ?

[** libérale, socialiste, gauchiste.]

Appelons ça — une fois de plus – de l'influence cachée.

En 2018, le média Politico a décrit comment s'effectuait le processus : "Kevin Rodriguez, jeune chanteur en herbe de 19 ans, est vêtu d'un jean serré et d'un sweat Nike gris et blanc. Il n'avait jamais entendu parler du puissant groupe donateur Democracy Alliance, mais il est devenu un outil clef du milliardaire pour faire basculer l'opinion publique dans la Sun Belt***. La clique des donateurs compte George Soros et Tom Steyer parmi ses membres, et elle finance discrètement une poignée de groupes politiques tel que celui qui se sert du jeune Rodriguez, Living United for Change in Arizona [Unis pour le Changement en Arizona]."

[*** , littéralement "Ceinture du Soleil", toute la région sud des États-Unis.]

Cette stratégie vise à renverser Donald Trump en toute discrétion, "en récupérant un électeur à la fois, tout en infiltrant rapidement les États du Sud", comme l'écrivait Politico.

Une stratégie qui passe inaperçue de l'ennemi, si bien qu'il ne peut la vaincre, et qui tire sa force de donations faites par des sources obscures, presque impossibles à repérer, donc difficiles à contrecarrer.

Passe encore que Soros déverse sa haine du président et son mépris pour une Amérique d'économie libre sur la place publique, comme il l'a fait à Davos, quand il traitait Trump "d'escroc dont le narcissisme s'est transformé en tumeur maligne" (source CNBC).

Mais cela devient inacceptable quand il utilise son influence pour saper sournoisement la polique et la culture américaines.

À Davos, il a annoncé qu'il injectait 1 milliard de dollars dans un nouveau réseau universitaire créé par l'Open Society, afin de fonder des écoles partout dans le monde. Ces écoles "éduqueront les élèves contre le nationalisme", rapportait le Financial Time.

En d'autres mots : il s'agit d'enseigner à la génération suivante que la souveraineté est mauvaise – enseigner à la jeunesse émergente comment devenir de bons citoyens du monde obéissants.

Soros a qualifié son projet "le plus important et le plus durable jamais conçu". Ça pourrait bien l'être, car s'il réussit, cela signifierait l'effondrement des frontières, la mise place d'un gouvernement mondial et la fin de l'Amérique telle que nous la connaissons.

Si les enfants sont notre espoir pour le futur, il faut enseigner aux enfants d'Amérique la grandeur de leur pays – avant qu'il ne soit trop tard et que l'Amérique, en tant que nation souveraine, n'ait plus aucun futur du tout.

Par Cheryl K. Chumley, 25 janvier 2020, édité par Clark Kent


J'ai pu observer ces derniers mois que la haine envers Trump des élites politiques, médiatiques, artistiques, était proportionnelle à leur implication dans de sordides crimes pédophiles ou pédo-satanistes.

La raison étant que l'Administration Trump et les militaires de son entourage ont déclaré une guerre totale au trafic humain et plus particulièrement au trafic, à l'exploitation sexuelle et aux crimes sur les enfants.

Soros est aux ordres des élites de la très haute finance mondiale, dont certains sont des pédo-satanistes et pédo-cannibales notoires.

Imaginez le cauchemar et l'horreur que cela peut être, pour un petit enfant, de se retrouver entre les griffes de ces monstres.

Le président des Philippines, Rodrigo Duterte, a prévenu Soros qu'il avait mis sa tête à prix.

Vladimir Poutine a lancé un mandat d'arrêt international contre George Soros.

Soros est aussi l'ennemi public N°1 du Premier ministre hongrois, Viktor Orban.

Les journalistes français, hypocrites et collabos dans l'âme, soutiennent le destructeur des nations, l'appellent "philanthrope", comme son comparse Bill Gates. Ils accusent les adversaires de Soros d'être "antisémites" ou d'extrême droite, alors que le monde idéal de Soros est une dictature nazie socialiste à côté de laquelle le IIIe Reich d'Hitler fait figure de paradis des libertés.

La souveraineté des nations et des peuples est la définition même de la démocratie. Seuls des fascistes voudraient s'y opposer.

La façon dont ces pseudo-philanthropes, Soros ou Gates, utilisent leur fortune pour piétiner la démocratie, les processus électoraux et les droits constitutionnels des citoyens est si évidente qu'on se demande comment des journalistes, soi-disant experts en politique ou en économie, peuvent être assez malhonnêtes pour fermer les yeux sur ces exactions et assez sournois pour camoufler ces trafics d'influence en torchonnant des articles sans âme.

Attendons que Ghislaine Maxwell, rabatteuse du trafiquant sexuel Epstein, ait dénoncé assez de noms pour qu'on apprenne qui est mouillé dans quoi, qui est tenu par quel chantage sordide parmi les PDG des groupes de presse européens.

Si vous allez sur Q  MAP Cases [Carte de Q, Procès], vous verrez qu'il y a encore 176 450 dossiers d'accusation scellés, 20 711 dossiers d'accusation descellés et 402 431 non scellés.

Sur la page Q  MAP Resignations [Carte de Q, Démissions], on peut voir que depuis septembre 2017, 12 275 PDG, à la tête de grandes sociétés dans le monde, ont donné leur démission.

On peut accélérer les choses en signant la pétition contre George Soros, en diffusant le lien par e-mail ou en le postant comme publication ou commentaire sur Facebook.

Une demi-journée après avoir commencé cet article, je jette un œil à la pétition : 251 632 signatures, 418 de plus.

Soros voulait détruire le monde…

Maintenant, le monde veut détruire Soros et le nombre de ses ennemis grandit d'heure en heure.


George Soros, 89 ans, poursuit toujours sa quête de destruction des États-Unis

George Soros a 89 ans, mais bon sang, avant de mourir, il verra la destruction intérieure de l'Amérique.

Du moins, c'est ce qu'il semblerait.

De quelle autre façon pouvons-nous interpréter ses paroles à Davos en Suisse, suivre ses financements des courses électorales américaines et relever ce qu'il dit du président Donald Trump, du capitalisme et des causes gauchistes qu'il soutient, ainsi que les fondations gauchistes Open Society qu'il dirige ? Difficile de parvenir à une autre conclusion.

Durant les dernières années, Soros a entrepris de prendre le contrôle des agences légales en injectant d'immenses quantités d'argent en faveur des candidats procureurs qu'il soutient dans les circonscriptions électorales clefs.

"George Soros effectue une réforme discrète du système judiciaire US", rapportait déjà Politico, en août 2016.

Ça continue aujourd'hui.

"Le PAC [Political Action Committee] financé par Soros injecte près d'1 million de $ dans les élections locales de procureurs", rapportait The Washington Post, concernant l'argent du PAC Justice et Sécurité Publique qui fut versé aux candidats de gauche du Comté d'Arlington et Fairfax, en Virginie, dans la course au poste de procureur des États indépendants.

"Manipulations publicitaires et 800.000 $ de Soros pour la course au poste de procureur général", a rapporté le New York Times en novembre.

"Le bureau du procureur est l'une des premières lignes de défense locale de la Constitution et de l'État de Droit. Cela signifie que l'impact progressiste immédiat est énorme – et c'est un impact qui peut être obtenu sans les luttes politiques coûteuses, comme

À l'heure où j'écris ceci, la pétition en ligne sur le site de la White House [Maison-Blanche] a recueilli 251 214 signatures.

Vous pouvez la signer ici :
Déclarez George Soros terroriste et saisissez tous les biens de ses organisations affiliées selon la loi RICO* et NDAA**

Créée par E.B. le 20 août 2017

Tandis que George Soros a sciemment, continuellement, tenté de déstabiliser et d'attaquer les États-Unis et ses citoyens, qu'il a créé et fondé des douzaines (probablement des centaines) d'organisations séparées dont le seul but est d'appliquer les tactiques terroristes sur le modèle d'Alinsky pour favoriser l'effondrement des institutions et du gouvernement constitutionnel des États-Unis, et tandis qu'il a étendu une emprise malsaine et abusive sur l'entièreté du Parti démocrate et une grande partie du Gouvernement fédéral US, le DOJ [Department Of Justice] devrait immédiatement déclarer George Soros et toutes ses organisations et leur personnel comme étant des terroristes nationaux, et saisir l'ensemble de leurs richesses et biens, tant personnels qu'organisationnels, d'après la Loi Civile sur la Confiscation.
RICO : loi pour lutter contre la mafia américaine et le crime organisé.

NDAA : National Defense Authorization Act, Loi d'Autorisation de la Défense Nationale.

Les crimes que cette pétition reproche à George Soros concernent les États-Unis, mais il les commet aussi contre la France par le biais des mêmes organisations qui, tel un cancer métastasé, infectent l'Europe.

Si le Département de la Justice américaine lance des poursuites contre Soros et saisit les biens de ses organisations américaines, le terroriste perdra une portion considérable de son influence et il y a des chances pour que d'autres pays se joignent à la curée.

La chute de Soros infligera un coup fatal à la mondialisation qui détruit la France, son économie, ses racines, son histoire, sa culture.

Soros considère l'anéantissement des États-Unis comme l'œuvre de sa vie, mais la France ainsi que toutes les nations souveraines sont incluses dans ce plan. Voici la traduction d'un article du Washington Times :

[Note : on vient de me signaler que cet article était terriblement mal écrit, ce qui est hélas ! terriblement vrai. Notez que j'écris en police Time New Roman (celle utilisée dans les romans) comme celle-ci.
Lorsque le texte est en police Arial comme celle-ci, il s'agit d'extraits ou de citations d'autres auteurs.
J'ai fait de mon mieux pour simplifier le style de la journaliste du Washington Times, mais ce n'est pas suffisant. Par conséquent, je prends la liberté d'éditer le style de son article (en bleu). Si vous voulez l'article original, il se trouve à la fin, après la ligne de séparation.]

George Soros a beau avoir 89 ans, il est toujours aussi déterminé à détruire les États-Unis

En tout cas, ça en a tout l'air.

Sinon, comment interpréter autrement ses paroles au forum économique de Davos en Suisse ?

Aussi, Soros finance les campagnes électorales américaines, critique de façon acerbe les déclarations de Donald Trump et le capitalisme, soutient activement des causes gauchistes et dirige la Fondation Open Society qui elle-même soutient de nombreuses causes gauchistes.

Durant les dernières années, Soros s'est efforcé de prendre le contrôle des institutions légales, en injectant de vastes capitaux en faveur des candidats au poste de procureur général, dans des circonscriptions juridiques clefs.

"George Soros effectue une réforme discrète du système judiciaire US", rapportait déjà Politico, en août 2016.

C'est encore le cas aujourd'hui.

"Le PAC [Political Action Committee] financé par Soros injecte près d'1 million de dollars pour faire élire des procureurs", rapportait The Washington Post, après que le Comité d'Action Politique Justice et Sécurité Publique eut versé de l'argent aux candidats de gauche des Comtés d'Arlington et Fairfax, en Virginie, dans la course au poste de procureur de chaque État.

En novembre, le New York Times rapportait les "manipulations publicitaires et les 800 000 dollars versés par Soros pour la course au poste de procureur général".

"Le bureau du procureur est l'une des premières lignes de défense locale de la Constitution et de l'État de Droit*. Cela signifie que l'impact progressiste** immédiat est énorme – et c'est un impact qui peut être obtenu sans les luttes politiques coûteuses, comme celles visant à obtenir un siège de sénateur ou une place à la Cour Suprème.

[* situation d’une société qui est soumise à des règles juridiques et garantit le respect de ces règles à tous les citoyens.

** libéral, socialiste, gauchiste.]

En d'autres mots, acheter un poste de procureur est rentable. Souvent, ça se fait discrètement, sans que ceux qui pourraient s'y opposer le remarquent.

D'autre part, Soros est aussi très occupé à acheter les sièges du Congrès et les médias, ou alors, surtout ces derniers mois, il finance la course électorale pour le Congrès, mais il va jusqu'à soudoyer les électeurs eux-mêmes.

Democracy Alliance, une association à but non lucratif fondée en 2005 pour promouvoir une vision progressiste*** en Amérique et fondée par de riches élites, a récemment changé sa stratégie de financer des groupes de réflexion au cœur de Washington, D.C., au profit de petits groupes, presque inconnus, dans diverses communautés. Pourquoi ?

[*** libérale, socialiste, gauchiste.]

Appelons ça — une fois de plus – de l'influence cachée.

En 2018, le média Politico a décrit comment s'effectuait le processus : "Kevin Rodriguez, jeune chanteur en herbe de 19 ans, est vêtu d'un jean serré et d'un sweat Nike gris et blanc. Il n'avait jamais entendu parler du puissant groupe donateur Democracy Alliance, mais il est devenu un outil clef du milliardaire pour faire basculer l'opinion publique dans la Sun Belt****. La clique des donateurs compte George Soros et Tom Steyer parmi ses membres, et elle finance discrètement une poignée de groupes politiques tel que celui qui emploie le jeune Rodriguez, Living United for Change in Arizona [Unis pour le Changement en Arizona]."

[**** littéralement "Ceinture du Soleil", toute la région sud des États-Unis.]

Cette stratégie vise à renverser Donald Trump en toute discrétion, "en récupérant un électeur à la fois, tout en infiltrant rapidement les États du Sud", comme l'écrivait Politico.

Une stratégie qui passe inaperçue de l'ennemi, si bien qu'il ne peut la vaincre, et qui tire sa force de donations faites par des sources obscures, presque impossibles à repérer, donc difficiles à contrecarrer.

Passe encore que Soros déverse sa haine du président et son mépris pour une Amérique d'économie libre sur la place publique, comme il l'a fait à Davos, quand il traitait Trump "d'escroc dont le narcissisme s'est transformé en tumeur maligne" (source CNBC).

Mais cela devient inacceptable quand il utilise son influence pour saper sournoisement la polique et la culture américaines.

À Davos, il a annoncé qu'il injectait 1 milliard de dollars dans un nouveau réseau universitaire créé par l'Open Society, afin de fonder des écoles partout dans le monde. Ces écoles "éduqueront les élèves contre le nationalisme", rapportait le Financial Time.

En d'autres mots : il s'agit d'enseigner à la génération suivante que la souveraineté est mauvaise – enseigner à la jeunesse émergente comment devenir de bons citoyens du monde obéissants.

Soros a qualifié son projet "le plus important et le plus durable jamais conçu". Ça pourrait bien l'être, car s'il réussit, cela signifierait l'effondrement des frontières, la mise en place d'un gouvernement mondial et la fin de l'Amérique telle que nous la connaissons.

Si les enfants sont notre espoir pour le futur, il faut enseigner aux enfants d'Amérique la grandeur de leur pays – avant qu'il ne soit trop tard et que l'Amérique, en tant que nation souveraine, n'ait plus aucun futur du tout.

Par Cheryl K. Chumley, 25 janvier 2020, édité par Clark Kent


J'ai pu observer ces derniers mois que la haine envers Trump des élites politiques, médiatiques, artistiques, était proportionnelle à leur implication dans de sordides crimes pédophiles ou pédo-satanistes.

La raison étant que l'Administration Trump et les militaires de son entourage ont déclaré une guerre totale au trafic humain et plus particulièrement au trafic, à l'exploitation sexuelle et aux crimes sur les enfants.

Soros est aux ordres des élites de la très haute finance mondiale, dont certains sont des pédo-satanistes et pédo-cannibales notoires.

Imaginez le cauchemar et l'horreur que cela peut être, pour un petit enfant, de se retrouver entre les griffes de ces monstres.

Le président des Philippines, Rodrigo Duterte, a prévenu Soros qu'il avait mis sa tête à prix.

Vladimir Poutine a lancé un mandat d'arrêt international contre George Soros.

Soros est aussi l'ennemi public N°1 du Premier ministre hongrois, Viktor Orban.

Les journalistes français, hypocrites et collabos dans l'âme, soutiennent le destructeur des nations, l'appellent "philanthrope", comme son comparse Bill Gates. Ils accusent les adversaires de Soros d'être "antisémites" ou d'extrême droite, alors que le monde idéal de Soros est une dictature nazie socialiste à côté de laquelle le IIIe Reich d'Hitler fait figure de paradis des libertés.

La souveraineté des nations et des peuples est la définition même de la démocratie. Seuls des fascistes voudraient s'y opposer.

La façon dont ces pseudo-philanthropes, Soros ou Gates, utilisent leur fortune pour piétiner la démocratie, les processus électoraux et les droits constitutionnels des citoyens est si évidente qu'on se demande comment des journalistes, soi-disant experts en politique ou en économie, peuvent être assez malhonnêtes pour fermer les yeux sur ces exactions et assez sournois pour camoufler ces trafics d'influence en torchonnant des articles sans âme.

Attendons que Ghislaine Maxwell, rabatteuse du trafiquant sexuel Epstein, ait dénoncé assez de noms pour qu'on apprenne qui est mouillé dans quoi, qui est tenu par quel chantage sordide parmi les PDG des groupes de presse européens.

Si vous allez sur Q  MAP Cases [Carte de Q, Procès], vous verrez qu'il y a encore 176 450 dossiers d'accusation scellés, 20 711 dossiers d'accusation descellés et 402 431 non scellés.

Sur la page Q  MAP Resignations [Carte de Q, Démissions], on peut voir que depuis septembre 2017, 12 275 PDG, à la tête de grandes sociétés dans le monde, ont donné leur démission.

On peut accélérer les choses en signant la pétition contre George Soros, en diffusant le lien par e-mail ou en le postant comme publication ou commentaire sur Facebook.

Une demi-journée après avoir commencé cet article, je jette un œil à la pétition : 251 632 signatures, 418 de plus.

Soros voulait détruire le monde…

Maintenant, le monde veut détruire Soros et le nombre de ses ennemis grandit d'heure en heure.


George Soros, 89 ans, poursuit toujours sa quête de destruction des États-Unis

George Soros a 89 ans, mais bon sang, avant de mourir, il verra la destruction intérieure de l'Amérique.

Du moins, c'est ce qu'il semblerait.

De quelle autre façon pouvons-nous interpréter ses paroles à Davos en Suisse, suivre ses financements des courses électorales américaines et relever ce qu'il dit du président Donald Trump, du capitalisme et des causes gauchistes qu'il soutient, ainsi que les fondations gauchistes Open Society qu'il dirige ? Difficile de parvenir à une autre conclusion.

Durant les dernières années, Soros a entrepris de prendre le contrôle des agences légales en injectant d'immenses quantités d'argent en faveur des candidats procureurs qu'il soutient dans les circonscriptions électorales clefs.

"George Soros effectue une réforme discrète du système judiciaire US", rapportait déjà Politico, en août 2016.

Ça continue aujourd'hui.

"Le PAC [Political Action Committee] financé par Soros injecte près d'1 million de $ dans les élections locales de procureurs", rapportait The Washington Post, concernant l'argent du PAC Justice et Sécurité Publique qui fut versé aux candidats de gauche du Comté d'Arlington et Fairfax, en Virginie, dans la course au poste de procureur des États indépendants.

"Manipulations publicitaires et 800.000 $ de Soros pour la course au poste de procureur général", a rapporté le New York Times en novembre.

"Le bureau du procureur est l'une des premières lignes de défense locale de la Constitution et de l'État de Droit. Cela signifie que l'impact progressiste immédiat est énorme – et c'est un impact qui peut être obtenu sans les luttes politiques coûteuses, comme pour un siège de sénateur ou une place à la Cour Suprème.

Acheter des sièges de procureur est d'un bon rapport qualité prix, en d'autres mots. Et souvent, ça se fait discrètement, sans que ceux qui pourraient s'y opposer le remarquent.

Ce qui ne veut pas dire que Soros n'est pas aussi très occupé à acheter les sièges du Congrès ni les médias, ou encore, surtout ces derniers mois, à financer la course électorale pour le Congrès, ainsi que les électeurs eux-mêmes.

Democracy Alliance, une association à but non lucratif fondée en 2005 pour promouvoir une vision progressiste en Amérique, et fondée par de riches élites, a récemment changé sa stratégie caritative de groupes de réflexion dans la toute puissante Washington, D.C., au profit de petits groupes, pratiquement inconnus, dans diverses communautés. Pourquoi ?

Appelez ça — une fois de plus –  influence cachée.

En 2018, Politico a décrit le processus : "Kevin Rodriguez, un jeune chanteur en herbe de 19 ans, habillé d'un jean serré et d'un haut Nike gris et blanc, n'avait jamais entendu parler du puissant groupe donateur Democracy Alliance. Mais il est un élément clef du club secret du milliardaire pour faire basculer la Sun Belt. La clique du donateur, qui compte George Soros et Tom Steyer parmi ses membres, est en train de discrètement financer une poignée de groupes politiques comme l'employeur de Rodriguez, Living United for Change in Arizona [Unis pour le Changement en Arizona]."

C'est une stratégie visant à discrètement renverser le président Donald Trump, "un nouvel électeur à la fois, en divisant rapidement les États dans tout le Sud des États-Unis", comme l'écrivait Politico.

C'est une stratégie qui passe inaperçue de l'ennemi et que par conséquent ce dernier ne peut vaincre.

Et c'est une stratégie qui tire tout son avantage de donations d'argent issues de sources obscures, dont il est difficile de retrouver la provenance et qui sont encore plus difficiles à contrecarrer.

C'est une chose que Soros reporte sa haine du président et son mépris pour une Amérique d'économie libre sur le plan public, comme il l'a fait à Davos, quand il traitait Trump "d'escroc" dont le "narcissisme" s'était transformé "en tumeur maligne", comme le rapportait CNBC.

C'est une tout autre chose qu'il fasse sournoisement déborder ses influences anti-américaines et les infiltre profondément dans la politique et la culture américaines.

À Davos, il a annoncé qu'il injectait 1 milliard de $ dans un nouveau réseau universitaire d'Open Society pour fonder des écoles dans le monde entier – lesquelles "éduqueraient contre le nationalisme", comme l'a rapporté le Financial Time.

En d'autres mots : enseigner à la génération suivante les maux de la souveraineté – enseigner à la jeunesse émergente comment devenir de bons citoyens obéissants du monde.

Soros appelle ça son "projet le plus important et le plus durable" qu'il ait jamais conçu. Cela pourrait bien l'être. S'il réussit, cela pourrait signifier l'effondrement des frontières, la mise place d'un gouvernement mondial, la fin de l'Amérique telle que nous la connaissons.

Si les enfants sont l'espoir du futur, les enfants d'Amérique doivent être éduqués sur la grandeur de l'Amérique – avant qu'il ne soit trop tard et que l'Amérique, en tant que nation souveraine, n'ait plus aucun futur du tout.

Par Cheryl K. Chumley, 25 janvier 2020
pour un siège de sénateur ou une place à la Cour Suprème.

Acheter des sièges de procureur est d'un bon rapport qualité prix, en d'autres mots. Et souvent, ça se fait discrètement, sans que ceux qui pourraient s'y opposer le remarquent.

Ce qui ne veut pas dire que Soros n'est pas aussi très occupé à acheter les sièges du Congrès ni les médias, ou encore, surtout ces derniers mois, à financer la course électorale pour le Congrès, ainsi que les électeurs eux-mêmes.

Democracy Alliance, une association à but non lucratif fondée en 2005 pour promouvoir une vision progressiste en Amérique, et fondée par de riches élites, a récemment changé sa stratégie caritative de groupes de réflexion dans la toute puissante Washington, D.C., au profit de petits groupes, pratiquement inconnus, dans diverses communautés. Pourquoi ?

Appelez ça — une fois de plus –  influence cachée.

En 2018, Politico a décrit le processus : "Kevin Rodriguez, un jeune chanteur en herbe de 19 ans, habillé d'un jean serré et d'un haut Nike gris et blanc, n'avait jamais entendu parler du puissant groupe donateur Democracy Alliance. Mais il est un élément clef du club secret du milliardaire pour faire basculer la Sun Belt. La clique du donateur, qui compte George Soros et Tom Steyer parmi ses membres, est en train de discrètement financer une poignée de groupes politiques comme l'employeur de Rodriguez, Living United for Change in Arizona [Unis pour le Changement en Arizona]."

C'est une stratégie visant à discrètement renverser le président Donald Trump, "un nouvel électeur à la fois, en divisant rapidement les États dans tout le Sud des États-Unis", comme l'écrivait Politico.

C'est une stratégie qui passe inaperçue de l'ennemi et que par conséquent ce dernier ne peut vaincre.

Et c'est une stratégie qui tire tout son avantage de donations d'argent issues de sources obscures, dont il est difficile de retrouver la provenance et qui sont encore plus difficiles à contrecarrer.

C'est une chose que Soros reporte sa haine du président et son mépris pour une Amérique d'économie libre sur le plan public, comme il l'a fait à Davos, quand il traitait Trump "d'escroc" dont le "narcissisme" s'était transformé "en tumeur maligne", comme le rapportait CNBC.

C'est une tout autre chose qu'il fasse sournoisement déborder ses influences anti-américaines et les infiltre profondément dans la politique et la culture américaines.

À Davos, il a annoncé qu'il injectait 1 milliard de $ dans un nouveau réseau universitaire d'Open Society pour fonder des écoles dans le monde entier – lesquelles "éduqueraient contre le nationalisme", comme l'a rapporté le Financial Time.

En d'autres mots : enseigner à la génération suivante les maux de la souveraineté – enseigner à la jeunesse émergente comment devenir de bons citoyens obéissants du monde.

Soros appelle ça son "projet le plus important et le plus durable" qu'il ait jamais conçu. Cela pourrait bien l'être. S'il réussit, cela pourrait signifier l'effondrement des frontières, la mise place d'un gouvernement mondial, la fin de l'Amérique telle que nous la connaissons.

Si les enfants sont l'espoir du futur, les enfants d'Amérique doivent être éduqués sur la grandeur de l'Amérique – avant qu'il ne soit trop tard et que l'Amérique, en tant que nation souveraine, n'ait plus aucun futur du tout.

Par Cheryl K. Chumley, 25 janvier 2020

Commentaires

  1. UNE ATTAQUE CONTRE SOROS

    Merci à tous ceux qui participent à la création de cette nouvelle réalité dans laquelle le Deep State s'effondre.

    Nous vivons dans un univers régi par les lois de la physique quantique.

    La loi d'intrication [entremêlement] quantique veut que les énergies, émotions, pensées des êtres qui se heurtent (impact) à un même objet, phénomène, se mettent à vibrer sur les mêmes fréquences et interagissent, comme sil elles étaient reliées par une sorte de wi-fi, ce qui amplifie le signal de départ.

    C'est aussi le sens de Where We Go One We Go All qui, vu sous cet angle quantique/énergétique, devient une sorte d'équation.

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    1. Très bon article . J’ai signé .

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    2. Tout à fait d'accord sur la physique quantique.

      Voici une vidéo en anglais de Rudy Giuliani qui est aussi très intéressante. Giuliani expose Soros complètement !

      https://www.youtube.com/watch?v=vCRRVctGEjo&feature=youtu.be&fbclid=IwAR3oqJgc84Qm_A--TR6etYEdV5r3_5g06cM1rrDo-wa681cfYMCZML6RJzE

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    3. Merci, je le remets en lien cliquable.

      George Soros' Clandestine Takeover Of DA Offices | Rudy Giuliani

      [La prise de contrôle clandestine des bureaux de procureur par George Soros, de Rudy Guliani (procureur fédéral)]

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